Tragic Muse

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Tragic Muse Page 39

by Rachel Brownstein


  108 “a woman renowned”: Germaine de Staël, Corinne, or Italy, pp. 21, 22.

  109 “Pale as one”: George Sand, Lélia, translated by Maria Espinosa (Bloomington, Ind., 1978), pp. 6, 89.

  110 “reproduce the folds”: “ai-je pu reproduire ses admirables plis si bien fouillés par les ciseaux de Michel Ange, Canova, Lorenzetto, Morelli etc. etc., avant de les avoir vu. Mais aussi quel est mon orgeuil, je les avais devinés; la fille du peuple a su se draper à l’antique et les romains viennent de m’admirer et m’applaudir avec fureur, les couronnes et les bouquets ont à plusieurs fois dans les soirées caché les tapis de la scène.” Rachel, 16 September 1851; Laplane, pp. 78–79.

  111 “he made the mistake”: “D’ailleurs, il a eu le tort de croire qu’on fait la Tragédie en faisant une tragédienne—fut-elle Mlle Rachel.” Edmond and Jules de Goncourt, Etudes d’art: le Salon de 1852 (Paris, c. 1852), p. 143. Albert Blanquet admired Clésinger’s busts of Rachel. “Le marbre de Clésinger sera peut-être retrouvé un jour sous les ruines de la moderne Ninive comme la Melpomène d’un nouveau Parnasse,” he raved; Blanquet, in Galerie illustrée des céebrités des théâtres de Paris (Paris, 1852), pp. 167–68.

  112 “It was a rare and moving spectacle”: “Ce fut un émouvant et rare spectacle, ce premier acte, cette tragédienne qui entrait dans le drame, cette morte qui voulait vivre, ce marbre qui s’avançait vers les hommes et vers les femmes. Ce fut quelque chose de l’entrée du Commandeur au souper de Don Juan;—seulement, ici, c’était la statue qui avait peur.” Auguste Vacquerie, “Mlle Rachel,” Profils et grimaces (Paris, 1856), p. 259.

  113 For demonic woman in the nineteenth-century imagination, see Nina Auerbach, Woman and the Demon: The Life of a Victorian Myth (Cambridge, Mass., 1982).

  114 For Fru Heiberg, see Søren Kierkegaard, Crisis in the Life of an Actress and Other Essays on Drama, translated by Stephen Crites (London, 1967). The context suggests that the word translated as “luck” signifies a palpable happy and confident self-possession.

  115 For Sarah Bernhardt as Joan of Arc at sixty-five, see Arthur Gold and Robert Fizdale, The Divine Sarah (New York, 1991), p. 243.

  116 “the minister understood”: Rachel’s account of her impromptu political conference with Achille Fould in 1854 is in “Lettres à l’aimé,” La Revue de France (15 December 1922), p. 675.

  117 “Look, I’m all for Rachel”: “Voyez-vous, je suis pour Rachel; elle est fine celle-là. Comme elle vous mâte tous ces drôles de Comédiens français! Elle renouvelle ses engagements, se fait assurer des feux, des congés, des montagnes d’or; puis, quand c’est signé, elle dit:—Ah! à propos j’ai oublié de vous dire que j’étais grosse de quatre mois et demi, je vais être cinq mois sans pouvoir jouer!—Elle fait bien. Si j’avais eu ces façons, je ne serais pas à crever comme un chien sur la paille.” Mlle George is quoted by Victor Hugo, Choses vues I (Paris, 1913), pp. 237–38.

  118 It was indeed the tocsin: “C’était bien le tocsin révolutionnaire qui vibrait dans sa voix, et la fièvre de la vengeance qui faisait trembler son corps frêle.” Gautier VI, p. 75.

  119 “she took her attitude”: Lumley, p. 52.

  120 “if her heart and soul”: Letter of 15 April 1848 to “Citoyen Verteuil, Secrétaire de l’administration du Théâtre de la République,” which reads, “J’y ai entendu la chante patriotique par notre grande tragédienne et l’ai trouvé entraînante par son énergie Républicaine, si son coeur et son âme le sont autant que son jeu, je la reconnais pour la première républicaine de la République de France.” Archives of the Comédie-Française.

  121 “she came forward”: Rowland E. Prothero, The Life and Correspondence of Arthur Penrhyn Stanley, vol. I (New York, 1894), p. 394. For R. W. Emerson on Rachel’s Marseillaise, see his journal entries cited previously, and the letter to his wife of 25 May 1848 in Ralph L. Rusk, ed., The Letters of R. W. Emerson IV (New York, 1939), p. 77. See also the Marquis of Normanby, A Year of Revolution from a Journal Kept in Paris in 1848, vol. I (London, 1857), pp. 281–82: “The event of the evening was the ‘Marseillaise’ (sung?) by Rachel. It was the triumph of superabundant energy, really producing an irresistibly thrilling effect, though one shared the sentiments, forcibly articulated rather than melodised, as little as the gifted artist herself, and I believe one cannot state the case more strongly. There could exist no one less likely to celebrate a revolution, which must have been most opposed to all her social sympathies, and most damaging to her professional career. When one heard her, as it was called, sing the ‘Marseillaise,’ one was the more surprised to recollect that her brilliant career had commenced as a ballad-singer in the streets,—a fact which, to all who had the pleasure of her acquaintance in the days of her early triumph, she stated without either reserve or affectation; but which this musical exhibition would assuredly not have suggested.” The marquis of course projects his politics. That he thought Rachel’s frank acknowledgment of her past was no index to her “social sympathies” is a tribute to the legend, in which the insouciance of La Grande was taken to be an aspect of her natural rank.

  122 “very male hymn”: “Cet hymne si mâle pourtant et d’un si grand jet musical, mademoiselle Rachel a trouvé moyen de le rendre plus énergique, plus fort, plus farouche et plus formidable, par l’âpreté incisive, les grondements rancuniers et les éclats métalliques de sa diction.” Gautier V, p. 242. About Rachel’s political views, the general opinion always has been that “Elle frondait un peu, voilà tout, sans s’occuper de systèmes qu’elle ne comprenait pas.” See A.-P. Mantel, Rachel: détails inédits (Paris, 1858), p. 40. She herself was amused by her political position: refusing a dinner invitation, she wrote, “On ne mange pas toujours quand on veut lorsqu’on a l’honneur d’être la première tragédienne de Sa Majesté le peuple français!” Rachel, in d’Heylli, p. 69. In “Rachel et la Marseillaise,” in 1848, révolutions et mutations au XIXe siècle, no. 4 (Paris, 1988), Sylvia Chevalley concludes that the actress was not sincere in her revolutionary passion—and that her performances saved the Théâtre-Français.

  123 “Rachel is the personified”: Fanny Lewald, Erinnerungen aus dem Jahre 1848 (Braunschweig, 1850), p. 195, quoted (and translated) in an unpublished paper by Irene Stocksieker Di Maio, “Landmarks and Language, Sites and Signs: Fanny Lewald’s Observations on the 1848 Revolution in France.” I am grateful to Professor Di Maio for making this available to me. Lewald’s Erinnerungen is also the source of the anecdote, very different in tone, about Heine’s visit to Rachel’s house in the country.

  124 For Rahel Levin Varnhagen, see Hannah Arendt, Rahel Varnhagen: The Life of a Jewish Woman (New York, 1974). Rahel is compared to Mme de Staël and described as “I’anti-Corinne par excellence” by Julien-Frédéric Tarn in Le Marquis de Custine (Paris, 1985), p. 472. Custine admired Rahel (before Rachel), and wrote an eloquent obituary after her death in 1833, praising her for disdaining eloquence, unlike de Staël, and speaking only to communicate, not to be admired.

  125 “A nobleman can and must be”: Johann Wolfgang von Goethe, Wilhelm Meister’s Apprenticeship, edited and translated by Eric A. Blackall in cooperation with Victor Lange (New York, 1989), p. 175.

  126 “ever attentive”: “ ‘La Grande,’ toujours attentive au vent capricieux du succès, fort peu tourné chez nous vers les choses républicaines, avait préalablement fait défection au premier rôle.” Journal de Edmond Got 1822–1910, vol. I (Paris, 1910), p. 259.

  127 “that I sang La Marseillaise”: “Rappeler mon zèle pour le théâtre chaque fois que le théâtre y a fait appel, et à cet endroit un mot à propos de la Marseillaise que je n’ai chantée que par dévouement dans un moment plus que critique, puisque sans elle après tout le Théâtre Français aurait péri comme tant d’autres dans ce naufrage des révolutions.” Rachel to Lockroy, in Laplane, p. 105.

  128 “Tomorrow the republic”: “Demain la république quitte la France, notre climat ne lui est pas favorable. Demain sera l’Empire demain Paris sera illuminé
, je regrette mon doux petit ange que tu ne puisses m’aider à accrocher mes lampions. Je suis un peu souffrante, je ne pourrai malheureusement voir aux Champs-Elysées l’entrée de l’Empereur à Paris.” Rachel to her son Alexandre Walewski, Paris, 1 October 1850; Archives of the Comédie-Française.

  129 “ce que les Anglais appellent”: “Revue des Théatres,” Revue des deux mondes III (1849), p. 1054.

  130 For Houssaye’s account of his appointment to the post of director of the Comédie-Française, see Arsène Houssaye, Les Confessions: souvenirs d’un demisiècle, 1830–1880, vol. II (Paris, 1885).

  131 “Travel makes one’s youth”: “Les voyages, qui forment la jeunesse, déforment les cartons à chapeaux.” Rachel, quoted by d’Heylli, p. 153.

  132 “I have traveled across”: “Je viens de traverser la Belgique, la Prusse, la Saxe et me voilà en Bohême après demain à Vienne, tout ce trajet en l’espace d’un mois!” Rachel, letter of 26 August 1851, Archives of the Comédie-Française.

  133 “Was it I who aroused”: “Vous auriez été satisfait de voir cette salle se soulever comme un seul homme. Etait-ce moi que montais le public ou le public que me montait? Je l’ignore; ce qu’il y a de certain, c’est que nous étions fort chauds tous les deux.” Rachel (sounding like Madonna), in “Lettres à l’aimé,” La Revue de France (15 December 1922), p. 682.

  134 “Life, finally, is sad”: “Toute jeune que je suis (car en verité quoiqu’en ait-dit le Constitutionnel) je me crois encore assez jeune, l’expérience m’est venue vite depuis quelques années; j’ai appris que la vraie gloire devait être indépendante. Qu’est-ce que nous donne mieux cette indépendance que la fortune! le désir très ardent que j’ai de devenir riche prend dailleurs sa source dans de très bons sentiments. La vie à finir est triste sans amis et rien ne me paraîtrait plus triste que de ne pouvoir en tout point satisfaire ceux que nous mènent gaiement au but eternel La mort.” Letter of 26 August 1851, Archives of the Comédie-Française.

  135 Jean Chéry’s recollections of Rachel on tour are recorded in an unpublished manuscript in the possession of the Comédie-Française. See also Sylvie Chevalley, “L’Amérique en 1855: notes de voyage de Jean Chéry,” The French-American Review, April-June, July-September 1950.

  136 “like a sovereign”: “comme une souveraine, non pas une souveraine pastiche de tragédie, avec une couronne en carton doré, mais une souveraine pour de vrai, contrôlée à la Monnaie.” Rachel, in d’Heylli, p. 195.

  137 “Moscow will soon be taken”: “Bientôt Moscou sera pris; les Moscovites nous rendent avec usure ce qu’ils nous ont pris en 1812.” Rachel to Rébecca Félix, 23 February 1854, Catalogue de lettres autographes, etc. (Paris, 1939), Bibliothèque de l’Arsénal. To Rébecca, Rachel also wrote victoriously on 18 March 1854, “La Russie est à nous, j’ai laissé Moscou en feu.” Laplane, p. 81.

  138 “the fatal side”: “le côté fatal, l’ampleur majestueuse, les effets calculés, la pose et l’immobilité de statue coupées par des accès frénétique, la mélopée tumulaire déployée dans cinq tirades propres à son talent: la diction. Mme Ristori en manifeste l’autre côté, le plus sympathique à ses instincts; l’amour tendre et brûlant, la fièvre jalouse et les épouvantes secrètes, la pantomime expressive: la passion. Elle en fait une femme.” Sébastien Rhéal (de Césena), Les Deux Phèdre, Mme Ristori et Mlle Rachel. Lettre à M. Carini, directeur du Courrier franco-italien (Paris, 1858), p. 20.

  139 “the difference between talent and genius”: For Lewes on Rachel and Ristori, see “Foreign Actors on Our Stage,” in G. H. Lewes, On Actors and the Art of Acting (New York, n.d.), p. 144. For Fanny Kemble on the same subject, see Margaret Armstrong, Fanny Kemble: A Passionate Victorian (New York, 1938), pp. 369–70.

  140 “My good old friend Michel”: “Mon bon vieil ami Michel, Je te fais juge de mon attachement de dévouement à ta très chère personne, n’oublies [sic] pas que je suis une tragédienne, que mes amours sont tout en Corneille dont j’ai les goûts mâles et virils.” Quoted in Jean-Yves Mollier, Michel et Calmann Lévy (Paris, 1984), p. 300.

  141 “Indeed, by virtue of the art”: “En effet, elle appartient, par l’art qu’elle exerce et par les chefs-d’oeuvre qu’elle représente, à tout ce que la république, à tout ce que la monarchie ont d’élégance, de courtoisie, de recherche, d’aristocratie et de raffinement. Athènes est une cour, la Rome d’Auguste est une cour; Louis XIV est un soleil qui donne sa clarté aux étoiles; les grands poètes Euripède et Sophocle, Corneille et Racine, s’adressent aux esprits choisis, aux âmes d’élite, aux passions élégantes, à la grandeur, à la toute-puissance, à la majesté; c’est dans un monde à part, et très difficile à contenter que s’agitent ces grands drames; ils parlent à l’âme des spectateurs choisis beaucoup plus qu’aux passions des foules assemblées.” Jules Janin, “La Semaine dramatique: Mlle Rachel et la tragédie aux États-Unis,” Journal des débats, 13 October 1855.

  142 “May she stay there”: “qu’elle y reste! qu’elle y réussisse! qu’elle y soit écrasée de dollars! qu’elle s’y plaise, qu’elle y aime Racine, qu’elle l’épouse, et qu’ils aient beaucoup de tragédies!” Auguste Vacquerie, “Mlle Rachel,” Profils et grimaces (Paris, 1856).

  143 “The Empire of France”: Mitchell’s School Geography, fourth rev. ed. (Philadelphia, 1854), pp. 244–45.

  144 For Harriet Beecher Stowe on Sojourner Truth (and Rachel), see her “Sojourner Truth, the Libyan Sybil,” Atlantic Monthly, vol. XI, no. 66, April 1863; reprinted in Katharine M. Rogers, ed., The Meridian Anthology of Early American Women Writers (New York, 1991). Nell Irwin Painter, in a forthcoming biography, Sojourner Truth: A Life, A Symbol, argues that Sojourner Truth was a self-construction and an effect of various rhetorical tropes, much as I argue about Rachel. About Stowe she writes, “For all her fondness for Truth, or what she makes of her memory, Stowe reduces her to the status of a primitive whose observations might be witty, divinely inspired, but valuable only as entertainment.” See Painter, “Sojourner Truth in Life and Memory: Writing the Biography of an American Exotic,” Gender and History, vol. 2, no. 1 (Spring, 1990), p. 10.

  145 the pistol-shot in Lady Tartuffe: Although stage directions for the play do not mandate a pistol-shot, a shot is crucial in an anecdote related in the play.

  146 “O go not”: the French is

  On m’a dit:—“N’allez pas sur la rive lointaine

  Affronter au hasard la vie américaine.

  Ce monde est en travail; il demande des bras

  Et non pas du génie. Il ne comprendra pas

  La langue de Corneille, étrangère, inconnue.…

  N’allez pas!” m’a-t-on dit;—Et moi, je suis venue.

  See, e.g., Chevalley, p. 353.

  147 “Some had put on their trousers”: Beauvallet, Rachel and the New World, p. 123.

  148 “Rachel made a great sensation here”: W. W. Story to J. R. Lowell, in Henry James, William Wetmore Story and His Friends I (London, 1903), pp. 303, 301. “because I imprudently failed”: “voilà ma position, j’ai eu froid en chemin de fer et depuis que je suis à Boston, je tousse comme une poitrinaire que je ne suis pas, je vous prie de le croire, malgré mon teint pâle et mon apparente maigreur, à part l’imprudence que j’ai eue de ne point me vétir assez chaudement.” Rachel, letter in La Revue de France (1 May 1910), p. 46.

  149 “I am making myself commercial”: In the letter from Rachel to Louise de Saigneville, dated Boston, 8 October 1855, she laments that “notre belle langue française” is not much known in New York. She acknowledges the applause of Americans but writes, “cela ne me fait plus rien plaisir pour que j’ai plaisir à être artiste j’ai besoin avant tout de savoir que je suis comprise et cela est impossible ici, je vous le répète je continue avec courage parce que je me fais commerciale je prends et j’entasse les dollars.” Archives of the Comédie-Française. “My body and mind”: “Mon corps et mon esprit sont tombés à rien. Je ramène ma pauvre armée en déroute sur les bords de la Seine
; et moi, peut-être, comme un autre Napoléon, j’irai mourir aux Invalides et demander une pierre pour reposer ma tête.” Rachel, letter in La Revue de France (1 May 1910), p. 44.

  150 “I have no more hopes”: “Je ne souhaite plus rien, je n’attends plus rien, et franchement, vivre de cette vie animale que je traîne depuis cette longue, douloureuse et triste maladie, plutôt cent fois se sentir renfermée entre quatre planches bien clouées et attendre qu’on fasse de nous et de notre boîte ce qu’on fait en ce moment des momies d’Egypte. Je ne mourrai peut-être plus de la poitrine, mais bien certainement je mourrai d’ennui. Quelle solitude morne s’est faite autour de moi! Songez que je suis seule avec un médecin polonais qui n’est que cela, une cuisinière et Rose, ma femme de chambre. Pourtant, j’ai constamment devant les yeux un ciel pur, un climat doux et ce fleuve hospitalier qui porte la barque du malade aussi doucement, aussi maternellement que la mère porte son nouveau-né; mais ces souvenirs majestueux de l’antique Egypte, ces ruines amoncelées de temples merveilleux, ces colosses gigantesques taillés dans les flancs des montagnes de granit, tant d’oeuvres et de chefs-d’oeuvres dégradés par la mine des siècles, renversés de leurs piédestaux par des tremblements de terre, tout ce spectacle vu à l’oeil, sans compter ce que notre imagination lui prête encore d’effrayant, est trop lourd à supporter pour des êtres faibles, des esprits abattus.” Rachel, 10 March 1857; d’Heylli, pp. 232–33.

 

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