T. S. Eliot the Poems, Volume 2

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T. S. Eliot the Poems, Volume 2 Page 14

by T. S. Eliot

[Commentary II 144 · Textual History II 648]

  VIII

  Lois sur la vente des juments. Lois errantes. Et nous-mêmes. (Couleur d’hommes.)

  Nos compagnons ces hautes trombes en voyage, clepsydres en marche sur la terre,

  et les averses solennelles, d’une substance merveilleuse, tissées de poudres et d’insectes, qui poursuivaient nos peuples dans les sables comme l’impôt de capitation.

  (A la mesure de nos cœurs fut tant d’absence consommée!)

  * * *

  Non que l’étape fût stérile: au pas des bêtes sans alliances (nos chevaux purs aux yeux d’aînés), beaucoup de choses entreprises sur les ténèbres de l’esprit—beaucoup de choses à loisir sur les frontières de l’esprit—grandes histoires séleucides au sifflement des frondes et la terre livrée aux explications …

  Autre chose: ces ombres—les prévarications du ciel contre la terre …

  Cavaliers au travers de telles familles humaines, où les haines parfois chantaient comme des mésanges, lèverons-nous le fouet sur les mots hongres du bonheur?—Homme, pèse ton poids calculé en froment. Un pays-ci n’est point le mien. Que m’a donné le monde que ce mouvement d’herbes? …

  * * *

  Jusqu’au lieu dit de l’Arbre Sec:

  et l’éclair famélique m’assigne ces provinces en Ouest.

  Mais au delà sont les plus grands loisirs, et dans un grand

  pays d’herbages sans mémoire, l’année sans liens et sans anniversaires, assaisonnée d’aurores et de feux. (Sacrifice au matin d’un cœur de mouton noir.)

  * * *

  Chemins du monde, l’un vous suit. Autorité sur tous les signes de la terre.

  O Voyageur dans le vent jaune, goût de l’âme! … et la graine, dis-tu, du cocculus indien possède, qu’on la broie! des vertus enivrantes.

  * * *

  Un grand principe de violence commandait à nos mœurs.

  VIII

  i Laws concerning the sale of mares. Nomad laws. And ourselves. (Man colour.)

  ii Our companions these high waterspouts on the march, clepsydrae travelling over the earth,

  iii and the solemn rains, of a marvellous substance, woven of powders and insects, pursuing our folk in the sands like a headtax.

  iv (To the scale of our hearts was such vacance completed!)

  * * *

  v Not that this stage was in vain: to the pace of the beasts akin to none (our pure bred horses with eyes of elders) many things undertaken on the darkness of the spirit—infinity of things at leisure on the frontiers of the spirit—great selucid histories to the whistling of slings and the earth given over to explanations …

  vi And again: these shadows—the prevarications of the sky against the earth …

  vii Cavaliers, across such human families, in whom hatreds sang now and then like crested tits, shall we raise our whip over the gelded words of happiness?—Man, weigh your weight measured in wheat. A country here, not mine. What has the world given me but this swaying of grass? …

  * * *

  viii To the place called the Place of the Dry Tree:

  ix and the starved lightning allots me these provinces in the West.

  x But beyond are the greater leisures, and in a great

  [Commentary II 144–45 · Textual History II 648–49]

  xi land of grass without memory, the year without ties or anniversaries, seasoned with dawns and heavenly fires. (Sacrificed, in the morning, the heart of a black sheep.)

  * * *

  xiiRoads of the world, we follow you. Authority over all the signs of the earth.

  xiii O Traveller in the yellow wind, lust of the soul! … and the seed (so you say) of the Indian cocculus possesses (if you mash it!) intoxicating properties.

  * * *

  xiv A great principle of violence dictated our fashions.

  [Commentary II 145 · Textual History II 649]

  IX

  Depuis un si long temps que nous allions en Ouest, que savionsnous des choses

  périssables? … et soudain à nos pieds les premières fumées.

  —Jeunes femmes! et la nature d’un pays s’en trouve toute parfumée:

  * * *

  ‘… Je t’annonce les temps d’une grande chaleur et les veuves criardes sur la dissipation des morts.

  Ceux qui vieillissent dans l’usage et le soin du silence, assis sur les hauteurs, considèrent les sables

  et la célébrité du jour sur les rades foraines;

  mais le plaisir au flanc des femmes se compose, et dans nos corps de femmes il y a comme un ferment de raisin noir, et de répit avec nous-mêmes il n’en est point.

  ‘… Je t’annonce les temps d’une grande faveur et la félicité des feuilles dans nos songes.

  Ceux qui savent les sources sont avec nous dans cet exil; ceux qui savent les sources nous diront-ils au soir

  sous quelles mains pressant la vigne de nos flancs

  nos corps s’emplissent d’une salive? (Et la femme s’est couchée avec l’homme dans l’herbe; elle se lève, met ordre aux lignes de son corps, et le criquet s’envole sur son aile bleue.)

  ‘… Je t’annonce les temps d’une grande chaleur, et pareillement la nuit, sous l’aboiement des chiens, trait son plaisir au flanc des femmes.

  Mais l’Étranger vit sous sa tente, honoré de laitages, de fruits. On lui apporte de l’eau fraîche

  pour y laver sa bouche, son visage et son sexe.

  On lui mène à la nuit de grandes femmes bréhaignes (ha! plus nocturnes dans le jour!) Et peut-être aussi de moi tirera-t-il son plaisir. (Je ne sais quelles sont ses façons d’être avec les femmes.)

  ‘… Je t’annonce les temps d’une grande faveur et la félicité des sources dans nos songes.

  Ouvre ma bouche dans la lumière, ainsi qu’un lieu de miel entre les roches, et si l’on trouve faute en moi, que je sois congédiée! sinon,

  que j’aille sous la tente, que j’aille nue, près de la cruche, sous la tente,

  et compagnon de l’angle du tombeau, tu me verras longtemps muette sous l’arbre-fille de mes veines … Un lit d’instances sous la tente, l’étoile verte dans la cruche, et que ie sois sous ta puissance! nulle servante sous la tente que la cruche d’eau fraîche! (Je sais sortir avant le jour sans éveiller l’étoile verte, le criquet sur le seuil et l’aboiement des chiens de toute la terre.)

  Je t’annonce les temps d’une grande faveur et la félicité du soir sur nos paupières périssables …

  mais pour l’instant encore c’est le jour!’

  * * *

  —et debout sur la tranche éclatante du jour, au seuil d’un grand pays plus chaste que la mort,

  les filles urinaient en écartant la toile peinte de leur robe.

  IX

  i Such a long time now we were making westward, what did we know of those things which are

  ii perishable? … and sudden at our feet the first smoke …

  iii —Young women! and the nature of a land is all scented therewith:

  * * *

  iv ‘… I foretell you the time of great heat, and the widows crying over the dissipation of the dead.

  v They who grow old in the custom and the care of silence, seated on the heights, contemplate the sands,

  vi and the lustre of the day over open roadsteads;

  vii but the pleasure forms itself within the womb, and in our women’s bodies there is as a ferment of black grape, and of respite with ourselves there is not.

  viii ‘… I foretell you the time of a great blessing and the felicity of leaves in our dreams.

  ix Those who know the springs are with us in this exile; those who know the springs will they tell us at evening

  x beneath what hands pressing the vine of our wombs

  xi our bodies are filled with a sap? (And the woman has lain down with the man in the grass; she rises, arranges the lines of her body, and the cricket makes off on blue wing.)

  xii ‘… I foretell you the time of great heat, and likewise t
he night, when the dogs bark, takes its pleasure from the womb of women.

  xiii But the Stranger dwells in his tent, honoured with gifts of dairy produce and fruit. He is offered fresh water

  xiv to wash therewith his mouth, his face and his sex.

  [Commentary II 145 · Textual History II 649]

  xv At night he is brought tall barren women (more nocturnal in the day!) And perhaps of me also will he have his pleasure. (I know not what are his ways with women.)

  xvi ‘… I foretell you the time of great blessing, and the felicity of springs in our dreams.

  xvii Open my mouth in the light, as a honey store among the rocks, and if fault be found in me, let me be dismissed! otherwise

  xviii may I enter in under the tent, may I enter naked, near the cruse, under the tent,

  xix and companion of the grave-corner, you shall see me for long time unspeaking under the girl-tree of my veins … A bed of entreaties under the tent, the green star in the cruse, and may I be under your dominion! no serving-maid under the tent but the cruse of cool water! (I have ways to depart before day without wakening the green star, the cricket on the threshold and the baying of the dogs of the whole world.)

  xx I foretell you the time of great blessing and the bounty of the evening on our eyelids that endure not …

  xxi but for the time being it is still day!’

  * * *

  xxii —and erect on the shining edge of the day, on the threshold of a great land more chaste than death,

  xxiii the girls made water straddling and holding aside the painted cloth of their gowns.

  [Commentary II 145 · Textual History II 649]

  X

  Fais choix d’un grand chapeau dont on séduit le bord. L’œil recule d’un siècle aux provinces de l’âme. Par la porte de craie vive on voit les choses de la plaine: choses vivantes, ô choses

  excellentes!

  des sacrifices de poulains sur des tombes d’enfants, des purifications de veuves dans les roses et des rassemblements d’oiseaux verts dans les cours en l’honneur des vieillards;

  beaucoup de choses sur la terre à entendre et à voir, choses vivantes parmi nous!

  des célébrations de fêtes en plein air pour des anniversaires de grands arbres et des cérémonies publiques en l’honneur d’une mare; des dédicaces de pierres noires, parfaitement rondes, des inventions de sources en lieux morts, des consécrations d’étoffes, à bout de perches, aux approches des cols, et des acclamations violentes, sous les murs, pour des mutilations d’adultes au soleil, pour des publications de linges d’épousailles!

  bien d’autres choses encore à hauteur de nos tempes: les pansements de bêtes au faubourgs, les mouvements de foules au devant des tondeurs, des puisatiers et des hongreurs; les spéculations au souffle des moissons et la ventilation d’herbages, à bout de fourches, sur les toits; les constructions d’enceintes de terre cuite et rose, de sècheries de viandes en terrasses, de galeries pour les prêtres, de capitaineries; les cours immenses du vétérinaire; les corvées d’entretien de routes muletières, de chemins en lacets dans les gorges; les fondations d’hospices en lieux vagues; les écritures à l’arrivée des caravanes et les licenciements d’escortes aux quartiers de changeurs; les popularités naissantes sous l’auvent, devant les cuves à fritures; les protestations de titres de créance; les destructions de bêtes albinos, de vers blancs sous la terre, les feux de ronces et d’épines aux lieux souillés de mort, la fabrication d’un beau pain d’orge et de sésame; ou bien d’épeautre; et la fumée des hommes en tous lieux …

  ha! toutes sortes d’hommes dans leurs voies et façons: mangeurs d’insectes, de fruits d’eau; porteurs d’emplâtres, de richesses! l’agriculteur et l’adalingue, l’acuponcteur et le saunier; le péager, le forgeron; marchands de sucre, de cannelle, de coupes à boire en métal blanc et de lampes de corne; celui qui taille un vêtement de cuir, des sandales dans le bois et des boutons en forme d’olives: celui qui donne à la terre ses façons; et l’homme de nul métier: homme au faucon, homme à la flûte, homme aux abeilles; celui qui tire son plaisir du timbre de sa voix, celui qui trouve son emploi dans la contemplation d’une pierre verte; qui fait brûler pour son plaisir un feu d’écorces sur son toit; qui se fait sur la terre un lit de feuilles odorantes, qui s’y couche et repose; qui pense à des dessins de céramiques vertes pour des bassins d’eaux vives; et celui qui a fait des voyages et songe à repartir; qui a vécu dans un pays de grandes pluies; qui joue aux dés, aux osselets, au jeu des gobelets; ou qui a déployé sur le sol ses tables à calcul; celui qui a des vues sur l’emploi d’une calebasse; celui qui traîne un aigle mort comme un faix de branchages sur ses pas (et la plume est donnée, non vendue, pour l’empennage des flèches), celui qui récolte le pollen dans un vaisseau de bois (et mon plaisir, dit-il, est dans cette couleur jaune); celui qui mange des beignets, des vers de palmes, des framboises; celui qui aime le goût de l’estragon; celui qui rêve d’un poivron; ou bien encore celui qui mâche d’une gomme fossile, qui porte une conque à son oreille, et celui qui épie le parfum de génie aux cassures fraîches de la pierre; celui qui pense au corps de femme, homme libidineux; celui qui voit son âme au reflet d’une lame; l’homme versé dans les sciences, dans l’onomastique; l’homme en faveur dans les conseils, celui qui nomme les fontaines, qui fait un don de sièges sous les arbres, de laines teintes pour les sages; et fait sceller aux carrefours de très grands bols de bronze pour la soif; bien mieux, celui qui ne fait rien, tel homme et tel dans ses façons, et tant d’autres encore! les ramasseurs de cailles dans les plis de terrains, ceux qui récoltent dans les broussailles les œufs tiquetés de vert, ceux qui descendent de cheval pour ramasser des choses, des agates, une pierre bleu pâle que l’on taille à l’entrée des faubourgs (en manière d’étuis, de tabatières et d’agrafes, ou de boules à rouler aux mains des paralytiques); ceux qui peignent en sifflant des coffrets en plein air, l’homme au bâton d’ivoire, l’homme à la chaise de rotin, l’ermite orné de mains de fille et le guerrier licencié qui a planté sa lance sur son seuil pour attacher un singe … ha! toutes sortes d’hommes dans leurs voies et façons, et soudain! apparu dans ses vêtements du soir et tranchant à la ronde toutes questions de préséance, le Conteur qui prend place au pied du térébinthe …

  O généalogiste sur la place! combien d’histoires de familles et de filiations?—et que le mort saisisse le vif, comme il est dit aux tables du légiste, si je n’ai vu toute chose dans son ombre et le mérite de son âge: les entrepôts de livres et d’annales, les magasins de l’astronome et la beauté d’un lieu de sépultures, de très vieux temples sous les palmes, habités d’une mule et de trois poules blanches—et par delà le cirque de mon œil, beaucoup d’actions secrètes en chemin: les campements levés sur des nouvelles qui m’échappent, les effronteries de peuples aux collines et les passages de rivières sur des outres; les cavaliers porteurs de lettres d’alliance, l’embuscade dans les vignes, les entreprises de pillards au fond des gorges et les manœuvres à travers champs pour le rapt d’une femme, les marchandages et les complots, l’accouplement de bêtes en forêt sous les yeux des enfants, et des convalescences de prophètes au fond des bouveries, les conversations muettes de deux hommes sous un arbre …

  mais par dessus les actions des hommes sur la terre, beaucoup de signes en voyage, beaucoup de graines en voyage, et sous l’azyme du beau temps, dans un grand souffle de la terre, toute la plume des moissons! …

  jusqu’à l’heure du soir où l’étoile femelle, chose pure et gagée dans les hauteurs du ciel …

  Terre arable du songe! Qui parle de bâtir?—J’ai vu la terre distribuée en de vastes espaces et ma pensée n’est point distraite du navigateur.

  X

  i Select a wide hat with the brim seduced. The eye withdraws by a century into the provinces of the soul. Through the gate of living chalk we see the things of the plain: living things,

  ii excellent things!

  iii sacrifice of colts on the tombs of childr
en, purification of widows among the roses and consignments of green birds in the courtyards to do honour to the old men;

  iv many things on the earth to hear and to see, living things among us!

  v celebrations of open air festivals for the name-day of great trees and public rites in honour of a pond; consecration of black stones perfectly round, discovery of springs in dead places, dedication of cloths held up on poles, at the gates of the passes, and loud acclamations under the walls for the mutilation of adults in the sun, for the publication of the bride-sheets!

  vi many other things too at the level of our eyes: dressing the sores of animals in the suburbs, stirring of the crowds toward sheep-shearers, well-sinkers and horse-gelders; speculations in the breath of harvests and turning of hay on the roofs, on the prongs of forks; building of enclosures of rose red terra cotta, of terraces for meat-drying, of galleries for priests, of quarters for captains; the vast court of the horse-doctor; the fatigue parties for upkeep of muleways, of zig-zag roads through the gorges; foundation of hospices in vacant places; the invoicing at arrival of caravans, and disbanding of escorts in the quarter of money-changers; budding popularities under the sheds, in front of the frying vats; protestation of bills of credit; destruction of albino animals, of white worms in the soil; fires of bramble and thorn in places defiled by death, the making of a fine bread of barley and sesame; or else of spelt; and the firesmoke of man everywhere …

  [Commentary II 145 · Textual History II 649]

  vii ha! all conditions of men in their ways and manners; eaters of insects, of water fruits; those who bear poultices, those who bear riches; the husbandman, and the young noble horsed; the healer with needles, and the salter; the toll-gatherer, the smith, vendors of sugar, of cinnamon, of white metal drinking cups and of lanthorns; he who fashions a leather tunic, wooden shoes and olive-shaped buttons; he who dresses a field; and the man of no trade: the man with the falcon, the man with the flute, the man with bees; he who takes his delight in the pitch of his voice, he who makes it his business to contemplate a green stone; he who burns for his pleasure a thornfire on his roof; he who makes on the ground his bed of sweet-smelling leaves, lies down there and rests; he who thinks out designs of green pottery for fountains; and he who has travelled far and dreams of departing again; he who has dwelt in a country of great rains; the dicer, the knuckle-bone player, the juggler; or he who has spread on the ground his reckoning tablets; he who has his opinions on the use of a gourd; he who drags a dead eagle like a faggot on his tracks (and the plumage is given, not sold, for fletching); he who gathers pollen in a wooden jar (and my delight, says he, is in this yellow colour); he who eats fritters, the maggots of the palmtree, or raspberries; he who fancies the flavour of tarragon; he who dreams of green pepper, or else he who chews fossil gum, who lifts a conch to his ear, or he who sniffs the odour of genius in the freshly cracked stone; he who thinks of the flesh of women, the lustful; he who sees his soul reflected in a sword blade; the man learned in sciences, in onomastic; the man well thought of in councils, he who names fountains, he who makes a public gift of seats in the shady places, of dyed wool for the wise men; and has great bronze jars, for thirst, planted at the crossways; better still, he who does nothing, such a one and such in his manners, and so many others still! those who collect quails in the wrinkled land, those who hunt among the furze for green-speckled eggs, those who dismount to pick things up, agates, a pale blue stone which they cut and fashion at the gates of the suburbs (into cases, tobacco-boxes, brooches, or into balls to be rolled between the hands of the paralysed); those who whistling paint boxes in the open air, the man with the ivory staff, the man with the rattan chair, the hermit with hands like a girl’s and the disbanded warrior who has planted his spear at the threshold to tie up a monkey … ha! all sorts of men in their ways and fashions, and of a sudden! behold in his evening robes and summarily settling in turn all questions of precedence, the Story-Teller who stations himself at the foot of the turpentine tree …

 

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