49 “We did not want”: Mary Wallstonecraft, Maria; or, the Wrongs of Woman (New York, 1975), p. 149
50 “A classical education”: Disraeli, Coningsby, p. 187.
51 Sandra M. Gilbert and Susan Gubar, in The Madwoman in the Attic: The Woman Writer and the Nineteenth-Century Literary Imagination (New Haven, 1979), trace connections between Laure in Middlemarch and Céline in Jane Eyre.
52 For the actress in England, see Christopher Kent, “Image and Reality: The Actress and Society,” in Martha Vicinus, ed., A Widening Sphere: Changing Roles of Victorian Women (Bloomington, Ind., 1977). See also, more generally, Juliet Bair, “Private Parts in Public Places: The Case of Actresses,” in Women and Space: Ground Rules and Social Maps, edited by Shirley Ardener (New York, 1981). For Nelly Ternan and actresses in England, see Claire Tomalin, The Invisible Woman: The Story of Nelly Ternan and Charles Dickens (New York, 1991), p. 14 ff.
53 “All the ladies-in-waiting”: Heine is quoted in S. S. Prawer, Heine’s Jewish Comedy, p. 327.
54 “Mlle Rachel is a great artist”: “Mlle Rachel est une grande artiste, elle veut bien mettre son talent à ma disposition, elle a un ton parfait. Je n’ai rien de plus à lui demander.” Mme Récamier is (allegedly) quoted by Martial-Piéchaud, La Vie privée de Rachel, p. 104.
55 she made and broke her liaisons: “Elle noue, dénoue, et reprend ses liaisons avec la plus grande insouciance, elle vit de la plus complète liberté du corps et de l’esprit, comme si elle voulait se dédommager par une vie dissipée de ce vénérable et chaste sacerdoce qu’elle exerce sur la scène.” Laplane, p. 155.
56 For the type of “grande amoureuse,” see Simone de Beauvoir, The Second Sex, translated by H. M. Parshley (New York, 1953; 1974), pp. 712–43.
57 “I am free”: “Je suis libre …” quoted by Chevalley, Rachel, p. 188.
58 “had two bracelets entirely”: Agate, Rachel, p. 70.
59 “since you’re willing to wag your tail”: “puisque tu veux bien remuer la queue en mon honneur, remue aussi les quatre pattes pour arriver à Paris.” Rachel, quoted by Toussaint du Wast, p. 96.
60 “My conduct”: “Ma conduite est irréprochable comme tu dis, mais cela n’empêche pas de faire des bêtises. Ne va pas être effrayé pour moi: ce ne sont que petites bêtises.” Rachel, quoted by Chevalley, p. 178.
61 “The Walewski”: “P. S. M. le Walewski me prie de vous dire mille choses (pensez-les aimables c’est ainsi qu’il entend.)” Rachel to Adèle Samson, 15 March 1845, archives of the Comédie-Française. Walewski’s biographer is Comte d’Ornano. See La Vie passionante du Comte Walewski, fils de Napoléon (Paris, 1953).
62 “boudoir de parade”: Agate, pp. 78–79, repeats Hector Fleischmann’s gossipy description. See also Nicole Toussaint du Wast for a description of the lavish decor.
63 “You ask whether my son is beautiful”: “Vous me demandez si mon fils est beau. Voulez-vous que je vous réponde franchement et que je vous dire sans détour ma façon de penser? Il est joli, très joli, et plus encore il promet de ressembler à son père.” Rachel, quoted by Chevalley, p. 169.
64 For Emile de Girardin, see Maurice Réclus, Emile de Girardin (Paris, 1934).
65 “The doubleness of Rachel’s character”: “La dualité du caractère de Rachel se dénonce ici sans feinte. Femme, c’est-à-dire emportée, passionnée, toute en nerfs et en colères, elle méprisera Véron; juive, c’est-à-dire avisée, calculatrice, prévoyante et soucieuse, elle se servira de lui. D’un côté, son honneur, sa dignité; de l’autre, son avenir, sa fortune. Et elle hésiterait? Et l’un passerait avant l’autre? Vous croyez donc que ce n’est pas une file à père Félix?” Fleischmann, p. 64.
66 “What a journey”: “Quelle route! Quelle fatigue!! Mais quelle dot!!!” Also, “je vous aime de tout mon coeur et me dis le plus dévoué de vos amis.” Rachel to Véron, in d’Heylli, p. 124.
67 “If by chance”: The letter to Sarah, dated only “Berlin, 2 October,” is worth quoting at length, with spelling and punctuation preserved: “ah que e’est long trois mois de congé seule quand trouverai-je donc un homme indépendant qui pourra me venir voir dans ce long exil de congé.… je suis toujours sur une route de poussière et sale comme un petit cochon. Avoir un amant qui est à Paris ou bien à la campagne pendant que vous allez vous fatiguer à l’étranger … mieux vaut un vieux mari qui vous ne quitte pas ou bien rien de tout et alors se suffire à soi-même. Je me sens un peu refroidir pour le blond il est trop la bonne de son père. Si par un beau temps en te promenant tu recontrais un homme bien de taille et de mine, envoyé le moi poste restante à Munich où je serai d’un quinze jour.” Archives of The Hebrew University, Jerusalem.
68 “Un Souper chez Mlle Rachel”: Jean Gooder, whose translation of Alfred de Musset I paraphrase here, writes, “ ‘Un Souper Chez Rachel’ was written as a letter to Madame [Caroline] Jaubert on the night of 29-30 May, 1839. It was first published by Paul de Musset after his brother’s death in le Magasin de Librairie on 25 March, 1859.” Gooder’s translation is of the version in the Pléiade edition of Musset’s Oeuvres complétes en prose (Paris, 1960), which is based not on Paul de Musset’s version but on a manuscript in the possession of Madame Jaubert’s granddaughter. See The Cambridge Quarterly, vol. 15, no. 2 (1986).
69 “a revelation of two realities”: Henry James, The Tragic Muse (Harmondsworth, 1984), p. 282.
70 “Racinian tenebroso”: Roland Barthes, On Racine, translated by Richard Howard (New York, 1983), p. 21.
71 “the will of Mlle Rachel”: “la volonté de Mlle Rachel et l’assentiment du public en ont fait une tragédienne.” Gérard de Nerval, Oeuvres complètes I (Paris, 1984), p. 1018.
72 George Sand wrote lovingly of Dorval’s sensitive study of the role of Phèdre, insisting she was admired by connoisseurs but being no longer young lacked Rachel’s erotic appeal; Rachel, she says, was too young, fearful, and restrained when she first played Phèdre, but later grew into it. Sand writes as if Dorval aimed deliberately to equal a standard Rachel had already set. See George Sand, “Histoire de ma vie,” Oeuvres autobiographiques II, edited by Georges Lubin (Paris, 1971), pp. 239–40.
73 “the best-kept secret”: Froma I. Zeitlin, “The Power of Aphrodite: Eros and the Boundaries of the Self in the Hippolytus,” in Peter Burian, ed., Directions in Euripidean Criticism: A Collection of Essays (Durham, N.C., 1985), p. 71. Zeitlin makes the observation apropos of the Euripides heroine.
74 “Je le vis, je rougis”: Jean Racine, “Phèdre” I, 3; Oeuvres complètes (Paris, 1950). The English is from “Phaedra,” The Complete Plays of Jean Racine, translated by Samuel Solomon, vol. II (New York, 1967). For Racine and Sappho, see Joan de Jean, Fictions of Sappho 1546–1937 (Chicago, 1989). The relevant lines, in a recent English translation of Sappho, are “my heart flutters in my breast/whenever I look quickly, for a moment—/I say nothing, my tongue broken,/a delicate fire runs under my skin,/my eyes see nothing, my ears roar,/cold sweat rushes down me,/trembling seizes me,/I am greener than grass,/to myself I seem/needing but little to die.” Diane Rayor, Ancient Greek Poetry: Archaic Lyric, Sappho and the Later Women Poets (Berkeley, 1991), p. 57.
75 “Rachel begins”: Annenkov, quoted in Senelick, “Rachel in Russia,” Theatre Research International, vol. III, no. 2 (February 1978), p. 99.
76 “With her first step”: “Au premier pas qu’elle a fait hors de la coulisse, le succès n’était plus douteux; jamais physionomie d’un rôle ne fut mieux composée. Quand elle s’est avancée, pâle comme son propre fantôme, les yeux rougis dans son masque de marbre, les bras dénoués et morts, le corps inerte sous ses belles draperies à plis droits, il nous a semblé voir, non pas mademoiselle Rachel, mais bien Phèdre elle-même.” Gautier II, p. 328.
77 “Mlle Rachel understands Phèdre”: “Mademoiselle Rachel a compris Phèdre d’une manière particulière, et que nous croyons la bonne. Elle joue le rôle, non pas en femme passionnée, mais en victime. Son amour est comme une espèce de folie, de mala
die vengeresse infligée par le courroux implacable de Vénus, qui n’hésite pas à perdre une innocente pour châtier un insensible qui dédaigne son culte.” Gautier III, p. 227.
78 “woman wasting away”: Sir Theodore Martin, Monographs: Garrick, Macready, Rachel, and Baron Stockmar (London, 1906), p. 250. Martin asserts that Rachel had “a low moral nature,” p. 267.
79 “female criminality”: “La criminalité de la femme est plus dangereuse que celle de l’homme parce qu’elle est plus contagieuse.” C. Lucas, De la réforme des prisons (1838); quoted by Joan Scott, Gender and the Politics of History (New York, 1988), p. 133.
80 “Rachel they say is”: Mary Lutyens, ed., Young Mrs. Ruskin in Venice: Unpublished Letters of Mrs. John Ruskin Written from Venice between 1849–1852 (New York, 1965), p. 192.
81 “Her attraction”: “L’attrait qu’elle a pour moi, c’est l’attrait du danger.” “Judith” III, 5, in Oeuvres complètes de Madame Emile de Girardin VI (Paris, 1860).
82 For Madame Lafarge, see Mary S. Hartman, Victorian Murderesses: A True History of Thirteen Respectable French and English Women Accused of Unspeakable Crimes (New York, 1977), esp. p. II; pp. 49–50. See also Flaubert’s L’Education sentimentale: “Quand il entra dans le salon, tous se lèverent à grand bruit, on l’embrassa; et avec les fauteuils et les chaises on fit un large demi-cercle autour de la cheminée. M. Gamblin lui demanda immédiatement son opinion sur Mme Lafarge. Ce procès, la fureur de l’époque, ne manqua pas d’amener une discussion violente.” (Gustave Flaubert, Oeuvres II [Paris, 1952], p. 42.) The editor’s note to this passage in the Pléiade edition reads, “Le procès de Mme Lafarge, ‘fureur de l’époque’ de Flaubert, passionne encore les hommes de la nôtre. Rappelons seulement ici que Marie Capelle, femme Lafarge, retirée dans la solitude provinciale du Glandier avec un mari qu’elle n’aimait pas, fut accusée de l’avoir empoisonné. Le procès occupa l’Europe entière.” The Edinburgh Review of July 1842 featured an article over thirty pages long by J. A. Roebuck, “Trial of Madame Lafarge: French Criminal Jurisprudence.”
83 “predilection for prisons”: In an 1843 letter from Brest to Delphine de Girardin, Rachel boasted of the courage that was required to enter into conversation with such “dregs of humanity.” See d’Heylli, p. 143. For her letter to Sarah Félix describing the visit to Mme Lafarge, see pp. 150–53.
84 “those beautiful Grecian idols”: “de belles idoles Grecques qui firent un moment, sous le Directoire, rêver d’Athènes au peuple de Paris.” Lamartine, Souvenirs et portraits 1 (Paris, 1886), is quoted in the preface to Delphine de Girardin, Chroniques parisiennes (Paris, 1986).
85 “Distinguished and crowned”: “Distinguée et couronnée par l’Académie française en 1822 pour avoir chanté le dévouement des Soeurs de Sainte-Camille pendant la peste de Barcelone, Mlle Gay ne cessa de célébrer depuis en vers tous les évènements publics importants, les solemnités monarchiques et patriotiques,” Sainte-Beuve wrote. “On la vit un jour, au haut de la coupole du Panthéon, réciter son Hymne à sainte Geneviève, en l’honneur des peintures de Gros. Dans un voyage qu’elle fit à Rome en 1827, elle fut reçue au Capitole membre de l’Académie du Tibre.… Tout cela donna prétexte de dire autour d’elle et lui donna l’idée à elle-même qu’elle n’était pas seulement une Muse élégiaque, mais aussi la Muse de la Patrie.” Sainte-Beuve, Causeries du lundi III (Paris, 1852), is quoted on p. 11 of the preface to Chroniques parisiennes.
86 “No woman has had”: “Jamais aucune femme n’avait eu ce triomphe tout viril depuis Vittoria Colonna; à qui vous ressemblez de traits, de génie, et, je crois, aussi d’héroisme.” Lamartine to Mme de Girardin, in Léon Séché, “Documents inédits de Rachel et Mme de Girardin,” La Revue de Paris, 1 June 1909. “When I was”: Fanny Lewald’s account of Heine’s visit is quoted by S. S. Prawer, Heine’s Jewish Comedy, p. 549. I quote Prawer’s comment on the analogy. Alice Y. Kaplan reminds me, apropos of Heine’s joke, that the carp is “the most Jewish of fishes,” carpe à la juive being included in many French cookbooks—which of course have many more recipes for rabbit, the meat of the terroir.
87 “this is not a woman”: “cette femme n’est pas dans le caractère antique; c’est la chrétienne réprouvée, c’est la pécheresse tombée vivante entre les mains de Dieu: son mot est le mot du damné.” René de Chateaubriand, “Le Génie du christianisme,” in Chateaubriand, Oeuvres complètes (Paris, 1978), p. 694.
88 “M. Nestor Roqueplan”: “M. Nestor Roqueplan me disait hier au soir: ‘Les gens du monde en ce moment vont à la tragédie comme les lorettes vont à la messe.’ ” Hugo, 27 April 1843; quoted by Louis Chévalier, Montmartre du plaisir et du crime (Paris, 1980), p. 61.
89 “Father Félix, who”: “le père Félix, qui s’est présenté jadis comme acteur au théâtre de Francfort, aurait pu se charger du rôle de Thésée, et la pièce se serait jouée tout à fait en famille; mais on a craint sa prononciation germanique, et il a bien fallu admettre un quatrième acteur d’un autre sang.” Gérard de Nerval, Oeuvres complètes, p. 820.
90 “a Rachelian progeny”: “tout une progéniture Rachélique … des acteurs non issus de Jacob en général, et le père Félix en particulier.” Nerval, p. 820.
91 “no particular knowledge”: “Mademoiselle Rachel, sans avoir de connaissances ni de goûts plastiques, possédait instinctivement un sentiment profond de la statuaire. Ses poses, ses attitudes, ses gestes s’arrangeaient naturellement d’une façon sculpturale et se décomposaient en une suite de bas reliefs. Les draperies se plissaient, comme fripées par la main de Phidias, sur son corps long, élégant et souple; aucun mouvement moderne ne troublait l’harmonie et le rhythme de sa démarche; elle était née antique, et sa chair pâle semblait faite avec du marbre grec.” Théophile Gautier, “Mademoiselle Rachel,” Portraits contemporains, p. 423.
92 “If only you knew”: “Si vous saviez quels plis chastes et purs font dessiner à sa blanche tunique ses mouvements si nobles, ses gestes si contenus! Comme son oeil est d’un noir profond dans son masque de marbre pâle! comme la ligne de son cou, un peu amaigri, s’attache avec élégance à ses épaules!” Gautier is quoted by Chevalley, Rachel, p. 172.
93 “Sculpture is as real”: Théophile Gautier, Mademoiselle de Maupin, translated by Paul Selver (London, 1948), p. 244.
94 “her misunderstood beauty”: “Sa beauté méconnue, car elle était admirablement belle, n’avait rien de coquet, de joli, de français, en un mot;—longtemps même elle passa pour laide, tandis que les artistes étudiaient avec amour et reproduisaient comme un type de perfection ce masque aux yeux noirs, détaché de la face même de Melpomène!” Gautier, Portraits contemporains, pp. 423–24.
95 “Yes, the work of art”: Anthony Hartley, trans., The Penguin Book of French Verse III (The Nineteenth Century) (Harmondsworth, 1957). Gautier’s lyric, “L’Art,” in his Emaux et Camées (1857), brings many of his characteristic themes together. It begins:
Oui, l’oeuvre sort plus belle
D’une forme au travail Rebelle,
Vers, marbre, onyx, émail.
Point de contraintes fausses!
Mais que pour marcher droit Tu chausses,
Muse, un cothurne étroit.
96 “The entrance of Mlle Rachel”: “L’entrée de Mlle Rachel au théâtre, lorsqu’au milieu des licenses poétiques du nouveau drame elle apparût subitement, drapée dans la tunique des statues, fut une révélation et un enchantement, quelque chose de semblable à l’effet que produisait cette grande Vénus trouvée à Milo, qui, à peine tirée de la poussière, réduisit au rang inférieur les prétendus chefs-d’oeuvre de l’art.” Paul de Saint-Victor is quoted in La Grande Encyclopédie Larousse (Paris, 1865), p. 605.
97 “in physiognomy and in attitude”: “de physionomie et d’attitude. L’armure d’acier, si invraisemblable qu’elle soit dans une prison, lui sied à merveille.” Nerval, p. 1046.
98 Under the aegis of a later republic, Brigitte Bardot and Catherine Deneuve would succe
ed her in that role.
99 For the contest between Mlles George and Duchesnois, see Roselyne Laplace, Mademoiselle George, ou un demi-siècle de théâtre (Paris, 1987), p. 42 ff.
100 “the most deserted theater in the universe”: Charles Baudelaire, “The Salon of 1846,” Art in Paris 1845–1862, Salons and Other Exhibitions, translated by Jonathan Mayne (Oxford, 1965), pp. 104–5.
101 “the female form”: Marina Warner, Monuments and Maidens: The Allegory of the Female Form (New York, 1985), p. 225.
102 “Rachel is an antique statue”: “Rachel est une statue antique, c’est-à-dire, quelque chose comme le beau idéal.” Auguste Roussel, Mlle Rachel et sa troupe en province, Satires (Paris, 1849), p. 11. For a comparison of Mlles George and Rachel on the one hand, and Michelangelo and Raphaël on the other, see La Tragédie et Mlle Rachel (Amsterdam, 1846), p. 7.
103 “Her gaze”: “Son regard, ses yeux aggrandis par le douleur, exprimaient le plus violent désespoir, c’était la tête de Méduse.” Mademoiselle Rachel: souvenirs d’un contemporain (Berlin, 1882), p. 24.
104 “beneath the sculptural folds”: “sous les plis de sa tunique sculpturale je vois s’agiter les serpents qui nous mordent le sein.” Théodore de Banville, quoted by André Bellessort, Heures de parole: sujets anciens, questions modernes (Paris, 1929), pp. 235–36.
105 “a severe classic figure”: See George C. D. Odell, Annals of the New York Stage (1850–1857), vol. VI (New York, 1931), pp. 448–49.
106 “cult of abstractions”: quoted from Revue et gazette des théâtres, 29 September 1853, in Sylvie Chevalley, “La tournée de Rachel en Russie,” Revue de l’histoire du théâtre IV (1958), p. 330.
107 In the nineteenth century: For another view of theatricality and the Victorians, see Nina Auerbach, Private Theatricals: The Lives of the Victorians (Cambridge, Mass., 1990). See also Lady Audley’s Secret, in which the heroine, deciding to kill her nephew, “stopped in her rapid pacing to and fro—stopped as Lot’s wife may have stopped, after that fatal backward glance at the perishing city—with every pulse slackening, with every drop of blood congealing in her veins, in the terrible process that was to transform her from a woman into a statue.” Mary Elizabeth Braddon, Lady Audley’s Secret (1862; repr. New York, 1974), pp. 203–4. Her story puts Lady Audley through a spectrum of actress-positions: she wears a mask to conceal her identity and cover up a crime, becomes statuelike when she gets the impulse to commit another, and responds to accusation, in the end, by assuming the grand statuesque manner of a tragic actress.
Tragic Muse Page 38