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The Complete Poetry of Aimé Césaire

Page 74

by Césaire, Aimé; Eshleman, Clayton; Arnold, A. James


  Il ne suffit pas 861

  il pensa à la logique des dents du marécage 745

  Il se fait une lumière atroce 563

  il y a des volcans qui se meurent 757

  il y a les archanges du Grand Temps 669

  incidents de voyage 679

  INDIVISIBLE 637

  INSOLITES BTISSEURS 789

  INTERCESSEUR 387

  INTIMITÉ MARINE 585

  INVESTITURE 127

  ISLAND WORDS 851

  j’ai de ma salive étroite tenu liquide le sang 835

  J’ai embaumé ma tête coupée dans une peau très mince 413

  Je chante toute chose plus belle 513

  je croise mon squelette 753

  Je frappai ses jambes et ses bras. Ils devinrent des pattes de fer terminées par des serres très puissantes recouvertes de petites plumes souples et vertes qui leur faisaient une gaine discernable mais très bien étudiée 415

  je les reconnais 737

  Je me vis franchissant un fleuve 641

  Je ne suis pas cloué sur le plus absurde des rochers 845

  je ne suis pas de ceux qui croient qu’une ville ne doit pas s’élever jusqu’à la catastrophe encore un tour de rein de cou d’étage ce sera le déclic 131

  Je suis un souvenir qui n’atteint pas le seuil 333

  Je t’emmerde geôlier 345

  Je t’évoque 101

  j’habite une blessure sacrée 653

  Jour ô jour de New-York et de la Soukala 165

  JUGEMENT DE LA LUMIÈRE 475

  la Bête a dû céder sur le sentier de ton dernier défi 787

  la bonne nouvelle m’aura été portée à travers la cohue d’astres jaunes et rouges en fleurs pour la première fois par une volée de pouliches ivres 657

  la colline d’un geste mou saupoudrait 659

  LA FEMME ET LA FLAMME 359

  LA FEMME ET LE COUTEAU 167

  LA FORÊT VIERGE 129

  LAISSEZ PASSER 355

  LA LOI EST NUE 319

  la mer s’est retirée intacte du sang des grands poulpes 553

  La mise en train ne se fait pas au train rafale 843

  la nécessité de la spéciation 783

  LA PAROLE AUX ORICOUS 313

  La pensée d’un dénouement rapide s’annule à bout de lave, selon des rivières 847

  la pierre qui s’émiette en mottes 643

  LA PLUIE 321

  La pointe du cône d’ombre sur nos joues de Brésil 365

  la relance ici se fait 699

  LA ROUE 389

  La roue est la plus belle découverte de l’homme et la seule 389

  La sombre épellation établit sa loi : … Ure… Usure ! Barbarie… Blessure ! 751

  la suractivation des terres 717

  LA TORNADE 373

  LE BOUC ÉMISSAIRE 341

  Le bouclier des mollusques 317

  Le bruit fort gravite pourri d’une cargaison 335

  LE COUP DE COUTEAU DU SOLEIL DANS LE DOS DES VILLES SURPRISES 347

  LE CRISTAL AUTOMATIQUE 119

  Le désespoir n’a pas de nom 683

  le désordre s’organise évalueur des collines 665

  Le grand coup de machete du plaisir rouge en plein front il y avait du sang 105

  LE GRAND MIDI 139

  LE GRIFFON 333

  Le marais déroulant son lasso jusque là lové autour de son nombril le marais dégoisant les odeurs qui jusque là avaient tissé une épaule avec des aisselles 417

  le mot est père des saints 701

  Le mulet de mes paupières glissant sur le pavé lourd de mes yeux d’avant terre 67

  le noir pavillon claquant au vent toujours barbaresque 729

  le périple ligote emporte tous les chemins 529

  le pont de lianes s’il s’écroule 837

  LES ARMES MIRACULEUSES 105

  les baisers des météorites 761

  les chercheurs de silex 663

  les combinaisons les plus variées nous ramènent toujours 743

  les fougues de chair vive 93

  Les hommes ont taillé dans leurs tourments une fleur qu’ils ont juchée 393

  Les maisons de par ici au bas des montagnes 505

  les mornes ne sont pas une convulsion d’oiseaux géants 719

  les nuits de par ici sont des nuits sans façon 705

  LES OUBLIETTES DE LA MER ET DU DÉLUGE 165

  le souvenir d’une route 567

  les pierres leur furent sans moelle prison d’escargots 735

  LES PUR-SANG 69

  Les rêves échoués desséchés font au ras de la gueule des rivières 559

  Les rizières de mégots de crachat sur l’étrange sommation 153

  Les sirènes rentrant leurs moustaches inopérantes les lumières jaunes et rouges du soir et de la nuit font en plein jour un van d’étoiles comestibles 305

  le surplus 715

  Les veines de la berge s’engourdissent d’étranges larves 341

  Le temps bien sûr nul du péché 391

  LE TEMPS DE LA LIBERTÉ 599

  Le temps que le sénateur s’aperçut que la tornade était assise 373

  le tronc enserré de liens 595

  LETTRE DE BAHIA-DE-TOUS-LES SAINTS 795

  le verra-t-on enfin endosser sa propre force 711

  Le whisky avait dénoué ses cheveux sales 599

  l’exil s’en va ainsi dans la mangeoire des astres 545

  L’extraordinaire téléphonie du feu central aux nébuleuses installée en une seconde et pour quels ordres ! 581

  L’hibiscus qui n’est pas autre chose qu’un œil éclaté 493

  l’incapacité d’un dire ou de très réels chevaux 677

  L’IRRÉMÉDIABLE 109

  LONGITUDE 489

  Lutteur il souffle sur des tisons 471

  LYNCH I 315

  LYNCH II 375

  ma face de monnaie très usée brusquement redécouverte dans tes fouilles 541

  MAGIQUE 311

  Ma grande statue blessée une pierre au front ma grande chair inattentive jour à grains sans pitié 109

  … MAIS IL Y A CE MAL 555

  MAISON-MOUSSON 541

  mais vint l’odeur 681

  Maître des trois chemins, tu as en face de toi un homme qui a beaucoup marché 399

  MARAIS 417

  MARCHE DES PERTURBATIONS 463

  marcher à travers des sommeils de cyclones transportant 693

  ME CENTUPLANT PERSÉE 591

  même tabac 685

  mémoire honorant le paysage 725

  MÉMORIAL DE LOUIS DELGRÈS 611

  MISSISSIPI 337

  MOBILE FLÉAU DE SONGES ÉTRANGES 573

  MOI, LAMINAIRE 645

  Moi qui Krakatoa 497

  Mon cheval bute contre des crânes joués à la marelle de la rouille 453

  Mon eau n’écoute pas 459

  mon peuple 631

  MORT À L’AUBE 471

  MOT 481

  MOT DE PASSE 427

  NAISSANCES 501

  N’apaisons pas le jour et sortons la face nue 361

  N’AYEZ POINT PITIÉ DE MOI 87

  Ne pas désespérer des lucioles 827

  NOCTURNE D’UNE NOSTALGIE 547

  nous frapperons l’air neuf de nos têtes cuirassées 99

  nous les chiffonniers de l’espoir 759

  nous montons 535

  Nous mourons notre mort dans des forêts d’eucalyptus géants dorlotant des échouages de paquebots saugrenus 121

  NOUS SAVOIR… 549

  NOUVELLE BONTÉ 791

  Nuages déraillez au chalumeau ! Pluie fille violente effilez vos charpies ! 583

  Nuit dure nuit gaule sans étoile. Je suis très mal avec l’espace. Qu’importe 351

  Nuit stigmate fourchu 469

  N’y eût-il dans le désert 639

  ODE À LA GUINÉE 449

  ô houle annonciatrice sans nombre sans poussière de toute parole vineuse 95

  OISEAUX 545

  ô
lances de nos corps de vin pur 117

  Ô montagne ô dolomies cœur d’oiseau sous mes mains d’enfant 323

  Or qui vive là 509

  Où quand comment d’où pourquoi oui pourquoi pourquoi pourquoi se peut-il que les langues les plus scélérates n’aient inventé que si peu de crocs à pendre ou suspendre le destin ses pompes et ses aisselles 313

  Pachira Peau-Rouge et garde empanachée de l’argile 603

  PARCOURS 835

  Parmi moi 481

  PAROLE DUE 831

  PAROLES D’ÎLES 851

  PASSAGE 821

  PASSAGES 783

  PATIENCE DES SIGNES 569

  Paysan frappe le sol de ta daba 409

  pensées éboulis d’abris 689

  Penser est trop bruyant 467

  PERDITION 99

  petit cheval hors du temps enfui 675

  PETITE CHANSON POUR TRAVERSER UNE GRANDE RIVIÈRE 641

  PHRASE 91

  plus d’aubier 779

  POÈME POUR L’AUBE 93

  Poings carnassiers teintés du ciel brisé 375

  POSTFACE 305

  pour me distraire 695

  Pour moi qu’on me serre la jambe 431

  Pourquoi le printemps me prend-il à la gorge ? que me veut-il ? et quand bien même il n’aurait pas assez de lances et de fanions ! Je te conspue printemps d’afficher ton œil borgne et ton haleine mauvaise 315

  pour revitaliser le rugissement des phosphènes 667

  POUR SALUER LE TIERS MONDE 633

  POUR UN CINQUANTENAIRE 863

  PRÉCEPTE 593

  PRÉSENCE 485

  Quand les Nègres font la Révolution ils commencent par arracher du Champ de Mars des arbres géants qu’ils lancent à la face du ciel comme des aboiements et qui couchent dans le plus chaud de l’air de purs courants d’oiseaux frais où ils tirent à blanc 419

  QUAND MIGUEL ANGEL ASTURIAS DISPARUT 765

  Quand viendra le soir du monde que les réverbères seront de grandes filles immobiles un nœud jaune aux cheveux et le doigt sur la bouche 423

  que la sève ne s’égare pas aux fausses pistes 707

  QUELCONQUE 445

  Quelconque le gâteau de la nuit décoré de petites bougies faites de lucioles 445

  QUE L’ON PRÉSENTE SON CŒUR AU SOLEIL 787

  quelques traces d’érosion 749

  QUESTION PREALABLE 431

  Qu’une tempête ne décline que le roc ne titube 619

  RABORDAILLE 785

  RACHAT 335

  RÉFÉRENCES 823

  RÉPONSE À DEPESTRE POÈTE HAÏTIEN 805

  reprenons 741

  Rescapée rescapée 859

  rien de moins à signaler 773

  rien que la masse de manœuvre de la torpeur à manœuvrer 687

  ROCHER DE LA FEMME ENDORMIE 859

  rôdeuse 547

  Rompue 501

  ROYAUME 539

  rumeur 865

  RUMINATION 829

  RUMINATION DE CALDEIRAS 855

  SAISON PRE 575

  SALUT À LA GUINÉE 537

  Salut oiseaux qui fendez et dispersez le cercle des hérons 473

  SAMBA 385

  sans cette colère c’est clair 713

  Sans doute est-il absurde de saluer cette poussée en plein océan 577

  sa part du soleil ? 709

  SCALP 371

  Séduisant du festin de mon foie ô Soleil 589

  SÉISME 533

  Si ma pensée emprunte les ailes du menfenil 555

  Si nous voulons réappareiller l’abeille dans les campêchiers du sang 851

  SOCIÉTÉ SECRÈTE 327

  SOLEIL ET EAU 459

  SOLEIL SERPENT 89

  Soleil serpent œil fascinant mon œil 89

  SOLIDE 357

  SOMMATION 513

  Songe donc 549

  SPIRALES 535

  STATUE DE LAFCADIO HEARN 577

  STÈLE OBSIDIENNE POUR ALIOUNE DIOP 819

  sublimes excoriations d’une chair fraternelle et jusqu’aux feux rebelles de mille villages fouettée 569

  SUPRÊME MASQUE 825

  … SUR L’ÉTAT DE L’UNION 625

  SURVIE 101

  TAM-TAM DE NUIT 115

  TAM-TAM I 135

  TAM-TAM II 137

  tant de grands pans de rêve 533

  tant pis si la forêt se fane en épis de pereskia 789

  ta tiare solaire à coups de crosse enfoncée jusqu’au cou 629

  TATOUAGE DES REGARDS 433

  tête trophée membres lacérés 579

  toi diseur 775

  TOMBEAU DE PAUL ÉLUARD 605

  TON PORTRAIT 509

  toron 755

  TORTURE 405

  TOTEM 381

  toujours, pas tant vif que beau, l’air, sauf ce souffle que nous pousse la vraie terre, langue bleue et fidèle précation d’ancêtres 723

  TOURNURE DES CHOSES 429

  Tous ceux dont le cœur est une tache d’encre sur le cahier d’un enfant tous ceux dont la parole est une étreinte brisée dans un dernier effort de gigantisme terrestre 405

  Tout ce qui d’anse s’est agglutiné pour former tes seins toutes les cloches d’hibiscus toutes les huîtres perlières toutes les pistes brouillées qui forment une mangrove tout ce qu’il y a de soleil en réserve dans les lézards de la sierra 385

  Tout ce qui jamais fut déchiré 517

  Tout insecte compté (le métal de l’herbe a cravaté leur gorge) 325

  train d’okapis facile aux pleurs la rivière aux doigts charnus 115

  TRANSMUTATION 343

  TRAVERSÉE NOCTURNE 329

  Très fort pendant les moustiques montés des volutes chargées à mitraille des maremmes joli cœur de la brutalité à la patte moricaude des bouges de sangliers 349

  très haut trouvé sourire perdu 573

  Troncs-thyrses 841

  Tu n’es pas un toit. Tu ne supportes pas de couvreurs 585

  Un arbre pousse contre un mur sa querelle de tuyau tordu 343

  un brouillard monta 611

  une envolée 727

  Une haie de jeunes filles exaltant 857

  Une robuste foudre en menace sur 463

  Un morceau de lumière qui descend la source d’un regard 359

  Va, autour de moi, de mon flanc 591

  VAMPIRE LIMINAIRE 563

  VA-T-EN CHIEN DES NUITS 553

  VERTU DES LUCIOLES 827

  Vierges d’Ogoué gratifiez-moi 363

  VISCÈRES DU POÈME 557

  VISITATION 95

  vol de cayes de mancenilliers de galets de ruisseau 127

  WIFREDO LAM… 773

  Yeux accrochés à leur haut pédoncule hypertrophié yeux d’anacardier et pus de tannin sur moi braqués comme un regard de mauvais fruit comme des mouches d’abattoir comme une barbe de justicier 433

  Zélande je me mets au diapason 427

 

 

 


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